326. L'âme, rentrant dans la vie spirituelle, est-elle sensible aux honneurs rendus à sa dépouille mortelle ?
« Quand l'Esprit est arrivé déjà à un certain degré de perfection, il
n'a plus de vanité terrestre et comprend la futilité de toutes ces
choses ; mais sache bien souvent il y a des Esprits qui, au premier
moment de leur mort matérielle, goûtent un grand plaisir des honneurs
qu'on leur rend, ou un ennui du délaissement de leur enveloppe ; car ils
conservent encore quelques-uns des préjugés d'ici-bas. »