987. Que devient l'homme qui, sans faire de mal, ne fait rien pour secouer l'influence de la matière ?
« Puisqu'il ne fait aucun pas vers la perfection, il doit recommencer
une existence de la nature de celle qu'il quitte ; il reste
stationnaire, et c'est ainsi qu'il peut prolonger les souffrances de
l'expiation. »