1002. Que doit faire celui qui, à l'article de la mort, reconnaît ses
fautes, mais n'a pas le temps de les réparer ? Se repentir suffit-il
dans ce cas ?
« Le repentir hâte sa réhabilitation, mais il ne
l'absout pas. N'a-t-il pas l'avenir devant lui qui ne lui est jamais
fermé ? »