708. N'y a-t-il pas des
positions où les moyens d'existence ne dépendent nullement de la volonté
de l'homme, et où la privation du nécessaire le plus impérieux est une
conséquence de la force des choses ?
« C'est une épreuve
souvent cruelle qu'il doit subir, et à laquelle il savait qu'il serait
exposé ; son mérite est dans sa soumission à la volonté de Dieu, si son
intelligence ne lui fournit aucun moyen de se tirer d'embarras. Si la
mort doit l'atteindre, il doit s'y résoudre sans murmure en pensant que
l'heure de la véritable délivrance est arrivée, et que le désespoir du dernier moment peut lui faire perdre le fruit de sa résignation. »