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Le Livre des Esprits > LIVRE TROISIÈME — LOIS MORALES > Chapitre XII — Perfection morale > Les vertus et les vices > 904 > 904-a
- Comment, dans ce cas, juger de la pureté des intentions et de la sincérité de l'écrivain ?
« Cela n'est pas toujours utile ; s'il écrit de bonnes choses, faites-en votre profit ; s'il fait mal, c'est une question de conscience qui le regarde. Du reste, s'il tient à prouver sa sincérité, c'est à lui d'appuyer le précepte par son propre exemple. »
« Cela n'est pas toujours utile ; s'il écrit de bonnes choses, faites-en votre profit ; s'il fait mal, c'est une question de conscience qui le regarde. Du reste, s'il tient à prouver sa sincérité, c'est à lui d'appuyer le précepte par son propre exemple. »